
ARCHIVÉ
Pièce colorée de 1 oz en argent fin – Naufrages en eaux canadiennes : S.S. Edmund Fitzgerald
2015
Tirage 7 000
ARCHIVÉ
Pièce colorée de 1 oz en argent fin – Naufrages en eaux canadiennes : S.S. Edmund Fitzgerald
2015
Tirage 7 000
109,95 $CAD
Club des Maîtres:
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À propos
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« Nous prenons dangereusement de la bande, les deux radars ne répondent plus et d'énormes vagues envahissent le pont. Ces eaux sont parmi les plus agitées que j'ai vues… » [traduction] –
Ernest M. McSorley, capitaine du S.S. Edmund Fitzgerald.
Immortalisée par une ballade populaire, le récit légendaire de ce navire de marchandises contraint d'affronter le tumulte d'une tempête extrêmefrappe l'imaginaire encore aujourd'hui. Le 10 novembre 1975, prisonnier devents violents qu'on appelle les « sorcières de novembre », le cargo américain S.S. Edmund Fitzgerald est aux prises avec ce que plusieurs estiment êtreparmi les pires conditions de tempête hivernale observées sur les Grands Lacs. D'énormes vagues poussées par des rafales ayant la puissance de l'ouragansubmergent le pont du navire chargé de marchandises, tandis qu'il longe la rive canadienne, où son équipage espère trouver un certain refuge au plus fort dela tourmente. Toutefois, dans une obscurité rendue totale par les fortes bourrasques de neige qui déferlent, l'un des plus imposants navires de marchandises à avoir navigué sur les Grands Lacs disparaît soudainement et silencieusement sous les eaux glaciales du lac Supérieur, près de la baie Whitefish, en Ontario, emportant avec lui les 29 membres deson équipage.
Un ajout prestigieux à toute collection depièces commémoratives ou consacrées à l'histoire ou la culture canadienne. Commandez votre exemplaire dès aujourd'hui!
Caractéristiques particulières
À propos du motif
Le motif au revers, œuvre de l'artiste canadien John Horton, recrée au moyen d'une gravure détaillée coloré les conditions maritimes de cette soirée fatidique de 1975 durant laquelle le S.S. Edmund Fitzgerald a affronté le déchaînement d'une terrible tempête hivernale. Au cours de ses derniers moments, le navire doit composer avec des vents qui ont la force de l'ouragan et provoquent une agitation extrême des eaux tumultueuses du lac Supérieur. D'énormes vagues viennent se fracasser contre la proue rouge et blanche du Fitzgerald et submergent le pont du cargo rempli de marchandises. Malgré la tourmente, l'équipage persévère avec courage tandis que soufflent de fortes bourrasques de neige qui rendent la lueur des lumières du navire à peine visible dansl'obscurité glaciale du soir. Le contour gravé de la terrible scène dessine le tracé de la portion sud-est de la rive canadienne du lac Supérieur, où le capitaine du Fitzgeraldespère que les hautes terres du Canada offriront un certain refuge contre la tempête, au plus fort de son déferlement. Ces eaux se révèlent toutefois funestes pour le célèbre navire, qui y sombre avec tout son équipage. La mention « S.S. EDMUND FITZGERALD » et l'ancredu bateau sont gravées sur la tranche dela pièce.
Le saviez-vous?
Immortalisée par une ballade célèbre, l'histoire légendaire de ce navire de marchandises contraint d'affronter le tumulte d'une tempête extrême frappe l'imaginaire encore aujourd'hui. Le 10 novembre 1975, prisonnier de vents violents qu'on appelle les « sorcières de novembre », le cargo américain S.S. Edmund Fitzgerald doit naviguer dans ce que plusieurs estiment être les pires conditions de tempête hivernale observées sur les Grands Lacs au cours de l'histoire récente.
Chargé d'une pleine cargaison de boulettes de minerai de fer, le Fitzgerald quitte Superior, au Wisconsin, à 14 h 15 le 9 novembre 1975 à destination de Detroit, au Michigan. Les conditions climatiques sont modérées et les eaux calmes, mais les météorologues observent qu'une tempête provenant des plaines est en déplacement. Le Fitzgerald est rejoint par le S.S. Arthur M. Anderson, et les deux navires décident de modifier leur itinéraire pour se rapprocher de la rive canadienne, espérant que les terres hautes du Canada leur apporteront une certaine protection au plus fort de la tempête.
Toutefois, le 10 novembre, à 1 h du matin, le Fitzgerald enregistre des vents de 52 nœuds (96 km/h) et des vagues de trois mètres de hauteur. Ayant presque la puissance de l'ouragan, les rafales semblent gagner enforce à mesure que la journée progresse, et la visibilité est grandement réduite. C'est cependant à 15 h 15 seulement que la situation s'aggrave de manière fatidique, alors que le capitaine Jesse Cooper du Anderson observe le Fitzgerald exécuter une manœuvre de contournement de l'île Caribou et esquiver de justesse le haut-fond Six Fathom. Une quinzaine de minutes plus tard, le Anderson reçoit une transmission radio du Fitzgerald indiquant que le navire prend l'eau et donne de la bande, et signalant qu'il a perdu deux conduits d'aération et une rambarde. Peu après, les deux radars du Fitzgerald cessent de fonctionner et le bateau devient alors complètement dépendant du Anderson pour s'orienter dans les eaux agitées, mais des bourrasques de neige poussées par des vents de 100 km/h enveloppent le Fitzgerald et le rendent complètement invisible dans l'obscurité du soir. À 19 h 10, le Anderson envoie une transmission radio au Fitzgerald demandant comment se débrouille son équipage, et le capitaineErnest McSorley répond « Nous tenons bon » [traduction] – ces mots seront, tragiquement, les derniers à être entendus des 29 membres de l'équipage du Fitzgerald.
Entre 19 h 20 et 19 h 30, le S.S. Edmund Fitzgerald coule soudainement et silencieusementau fond d'un lac Supérieur glacial, à 27 kilomètres de l'embouchure de la baie Whitefish, dans des eaux canadiennes d'une profondeur de 160 mètres. Pendant les trois jours qui suivent, des navirescomme le S.S. William Clay Ford et le S.S. Hilda Marjanne participent aux opérations de recherche de survivants des deux côtés du lac. La Garde côtière canadienne déploie quant à elle un aéronef pour inspecter lazone du haut des airs pendant que la Police provinciale de l'Ontario met sur pied une patrouille pour arpenter les plages le long de la rive est du lac dans l'espoir de retrouver des survivants,mais en vain. Aucun survivant n'est retrouvé.
Bien que les théories abondent quant à la cause du naufrage, le rapport officiel indique que le navire a probablement coulé en raison de l'inondation provoquée par les vagues submergeant le pont et parce que l'eau s'est introduite dans la cale à marchandises par les écoutilles, dont la fermeture était défaillante. Le fait qu'aucun signal de détresse n'ait été envoyé ajoute au mystère de la disparition du navire.Encore aujourd'hui, le récit tragique de la défaite du Fitzgerald contre le déchaînement d'une tempête hivernale inspire un profond sentiment de perte.
Emballage
La pièce est encapsulée et présentée dans un boîtier à double coque bordeaux orné du logo de la Monnaie royale canadienne. Le boîtier est assorti d'une boîteprotectrice illustrée.
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Ernest M. McSorley, capitaine du S.S. Edmund Fitzgerald.
Immortalisée par une ballade populaire, le récit légendaire de ce navire de marchandises contraint d'affronter le tumulte d'une tempête extrêmefrappe l'imaginaire encore aujourd'hui. Le 10 novembre 1975, prisonnier devents violents qu'on appelle les « sorcières de novembre », le cargo américain S.S. Edmund Fitzgerald est aux prises avec ce que plusieurs estiment êtreparmi les pires conditions de tempête hivernale observées sur les Grands Lacs. D'énormes vagues poussées par des rafales ayant la puissance de l'ouragansubmergent le pont du navire chargé de marchandises, tandis qu'il longe la rive canadienne, où son équipage espère trouver un certain refuge au plus fort dela tourmente. Toutefois, dans une obscurité rendue totale par les fortes bourrasques de neige qui déferlent, l'un des plus imposants navires de marchandises à avoir navigué sur les Grands Lacs disparaît soudainement et silencieusement sous les eaux glaciales du lac Supérieur, près de la baie Whitefish, en Ontario, emportant avec lui les 29 membres deson équipage.
Un ajout prestigieux à toute collection depièces commémoratives ou consacrées à l'histoire ou la culture canadienne. Commandez votre exemplaire dès aujourd'hui!
Caractéristiques particulières
- LETTRAGE SUR TRANCHE : Lamention « S.S. EDMUND FITZGERALD » et l'ancre du bateau sont gravées sur la tranche de la pièce.
- Il s'agit de la troisième pièce de la série Naufragesen eaux canadiennes, qui commémore les navires célèbres ayant sombré en eaux canadiennes et les légendes auxquelles ont donné lieu les événements entourant leur destin tragique.
- Ciselée dans l'argent pur à 99,99 %, cette pièce commémore l'anniversaire de la disparition du Fitzgerald.
- La coloration sélective donne le ton de cette représentation artistique de l'une des pires tragédies navales ayanteu lieu en eaux canadiennes.
- Aucune TPS ni TVH. Pièce offerte en tirage mondial limité.
À propos du motif
Le motif au revers, œuvre de l'artiste canadien John Horton, recrée au moyen d'une gravure détaillée coloré les conditions maritimes de cette soirée fatidique de 1975 durant laquelle le S.S. Edmund Fitzgerald a affronté le déchaînement d'une terrible tempête hivernale. Au cours de ses derniers moments, le navire doit composer avec des vents qui ont la force de l'ouragan et provoquent une agitation extrême des eaux tumultueuses du lac Supérieur. D'énormes vagues viennent se fracasser contre la proue rouge et blanche du Fitzgerald et submergent le pont du cargo rempli de marchandises. Malgré la tourmente, l'équipage persévère avec courage tandis que soufflent de fortes bourrasques de neige qui rendent la lueur des lumières du navire à peine visible dansl'obscurité glaciale du soir. Le contour gravé de la terrible scène dessine le tracé de la portion sud-est de la rive canadienne du lac Supérieur, où le capitaine du Fitzgeraldespère que les hautes terres du Canada offriront un certain refuge contre la tempête, au plus fort de son déferlement. Ces eaux se révèlent toutefois funestes pour le célèbre navire, qui y sombre avec tout son équipage. La mention « S.S. EDMUND FITZGERALD » et l'ancredu bateau sont gravées sur la tranche dela pièce.
Le saviez-vous?
Immortalisée par une ballade célèbre, l'histoire légendaire de ce navire de marchandises contraint d'affronter le tumulte d'une tempête extrême frappe l'imaginaire encore aujourd'hui. Le 10 novembre 1975, prisonnier de vents violents qu'on appelle les « sorcières de novembre », le cargo américain S.S. Edmund Fitzgerald doit naviguer dans ce que plusieurs estiment être les pires conditions de tempête hivernale observées sur les Grands Lacs au cours de l'histoire récente.
Chargé d'une pleine cargaison de boulettes de minerai de fer, le Fitzgerald quitte Superior, au Wisconsin, à 14 h 15 le 9 novembre 1975 à destination de Detroit, au Michigan. Les conditions climatiques sont modérées et les eaux calmes, mais les météorologues observent qu'une tempête provenant des plaines est en déplacement. Le Fitzgerald est rejoint par le S.S. Arthur M. Anderson, et les deux navires décident de modifier leur itinéraire pour se rapprocher de la rive canadienne, espérant que les terres hautes du Canada leur apporteront une certaine protection au plus fort de la tempête.
Toutefois, le 10 novembre, à 1 h du matin, le Fitzgerald enregistre des vents de 52 nœuds (96 km/h) et des vagues de trois mètres de hauteur. Ayant presque la puissance de l'ouragan, les rafales semblent gagner enforce à mesure que la journée progresse, et la visibilité est grandement réduite. C'est cependant à 15 h 15 seulement que la situation s'aggrave de manière fatidique, alors que le capitaine Jesse Cooper du Anderson observe le Fitzgerald exécuter une manœuvre de contournement de l'île Caribou et esquiver de justesse le haut-fond Six Fathom. Une quinzaine de minutes plus tard, le Anderson reçoit une transmission radio du Fitzgerald indiquant que le navire prend l'eau et donne de la bande, et signalant qu'il a perdu deux conduits d'aération et une rambarde. Peu après, les deux radars du Fitzgerald cessent de fonctionner et le bateau devient alors complètement dépendant du Anderson pour s'orienter dans les eaux agitées, mais des bourrasques de neige poussées par des vents de 100 km/h enveloppent le Fitzgerald et le rendent complètement invisible dans l'obscurité du soir. À 19 h 10, le Anderson envoie une transmission radio au Fitzgerald demandant comment se débrouille son équipage, et le capitaineErnest McSorley répond « Nous tenons bon » [traduction] – ces mots seront, tragiquement, les derniers à être entendus des 29 membres de l'équipage du Fitzgerald.
Entre 19 h 20 et 19 h 30, le S.S. Edmund Fitzgerald coule soudainement et silencieusementau fond d'un lac Supérieur glacial, à 27 kilomètres de l'embouchure de la baie Whitefish, dans des eaux canadiennes d'une profondeur de 160 mètres. Pendant les trois jours qui suivent, des navirescomme le S.S. William Clay Ford et le S.S. Hilda Marjanne participent aux opérations de recherche de survivants des deux côtés du lac. La Garde côtière canadienne déploie quant à elle un aéronef pour inspecter lazone du haut des airs pendant que la Police provinciale de l'Ontario met sur pied une patrouille pour arpenter les plages le long de la rive est du lac dans l'espoir de retrouver des survivants,mais en vain. Aucun survivant n'est retrouvé.
Bien que les théories abondent quant à la cause du naufrage, le rapport officiel indique que le navire a probablement coulé en raison de l'inondation provoquée par les vagues submergeant le pont et parce que l'eau s'est introduite dans la cale à marchandises par les écoutilles, dont la fermeture était défaillante. Le fait qu'aucun signal de détresse n'ait été envoyé ajoute au mystère de la disparition du navire.Encore aujourd'hui, le récit tragique de la défaite du Fitzgerald contre le déchaînement d'une tempête hivernale inspire un profond sentiment de perte.
- Mesurant 222 mètres, le S.S. Edmund Fitzgerald est conçu de manière à ce que sa longueur soit tout juste inférieure à la taille maximale permettant d'emprunter la Voie maritime du Saint-Laurent, alors en construction, et les écluses de Sault Ste. Marie. Au moment de sa mise à l'eau, il est considéré comme le plusgrand navire de marchandises d'eau douce à naviguer dans les Grands Lacs.
- Certains marins croient dur comme fer quedes problèmes le jour du lancement d'un navire sont de mauvais augure. Or, lorsque le Fitzgerald est lancé, le 8 juin 1958, tout ne se déroule pas comme prévu : il faut frapper la bouteille de champagne servant au baptême du navire à trois reprises avant qu'elle se brise sur la coque, la mise à l'eau est retardée de plus d'une demi-heure en raison de difficultés éprouvées par l'équipage pour dégager les tins sous la quille et, une fois le bateau lancé, celui-ci entre en collision avec un quai.
- Le Fitzgerald établit et bat plusieurs records de l'époque. Notamment, il devient en 1964 le premier navire de marchandises naviguant sur les Grands Lacs à faire transiter en une seule saison plus d'un million de tonnes de minerai par les écluses de Sault Ste. Marie (aussi appelées les écluses de Soo).
- Reliant Superior, dans le Wisconsin, à Detroit, dans le Michigan, le trajet aller-retour habitueldu Fitzgerald prend normalement cinq jours, et le navire l'exécute environ 47 fois par saison.
- En novembre 1975, le nombre d'allers-retours réalisés par le Fitzgerald se chiffre à près de 748, ce qui correspond à une distance parcourue d'approximativement 44 fois letour de la terre.
- Le lieu du naufrage est protégé par la loi afin que l'épave du navire demeure intacte, par respect pour les membres d'équipage qui ont péri dans la tragédie.
Emballage
La pièce est encapsulée et présentée dans un boîtier à double coque bordeaux orné du logo de la Monnaie royale canadienne. Le boîtier est assorti d'une boîteprotectrice illustrée.
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Caractéristiques techniques
Numéro de produit
147668
Tirage
7 000
Composition
argent pur à 99,99 %
Embellissement
Colorée
Poids
31,39 g
Tranche
lisse avec lettrage sur tranche
Certificat
numéroté
Valeur nominale
20 dollars
Fini
épreuve numismatique
Évaluations
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