
ARCHIVÉ
Pièce colorée de 5 oz en argent fin – 100e anniversaire du poème Au Champ d’honneur – Tirage : 1 500
2015
Tirage 1 500
ARCHIVÉ
Pièce colorée de 5 oz en argent fin – 100e anniversaire du poème Au Champ d’honneur – Tirage : 1 500
2015
Tirage 1 500
519,95 $CAD
Club des Maîtres:
5 200
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À propos
Cette magnifique pièce de grand format rend un hommage touchant au célèbre poème de John McCrae.
Pièce colorée de 5 oz en argent fin – 100e anniversaire du poème Au Champ d’honneur – Tirage : 1 500 (2015)
Cette magnifique pièce de grand format rend un hommage touchant au célèbre poème de John McCrae.
Au champ d’honneur, les coquelicots
Sont parsemés de lot en lot
Auprès des croix; et dans l’espace
Les alouettes devenues lasses
Mêlent leurs chants au sifflement
Des obusiers.
- Au champ d’honneur, adaptation du poème In Flanders Fieldssignée Jean Pariseau
’année 2015 marque le 100eanniversaire de la publication du poème In Flanders Fields (Au champ d’honneur), composé en mai 1915 par le médecin et lieutenant-colonel canadien John McCrae, alors plongé dans les horreurs de la deuxième bataille d’Ypres. Grâce à ce poème des plus émouvants, l’auteur a donné une voixaux 60 000 Canadiens tombés au combat pendant la Première Guerre mondiale et lancé un mouvement international pour perpétuer leur souvenir. Soulignant l’anniversaire du poème, cette pièce en argent fin se veut un hommage solennel à ceux qui ont servi leur pays avec courage à l’étranger en temps de guerre. N’oublions jamais.
La pièce commémore le célèbre poème composé parJohn McCrae. Commandez la vôtre dès aujourd’hui!
Caractéristiques particulières
• À L’EFFIGIE DU ROI GEORGE V : L’avers est à l’effigie du roi George V selon sir E. B. MacKennal.
• Cette pièce souligne de façon poignante le 100e anniversaire de la publication du célèbre poème composé par le Canadien John McCrae, lequel est souvent cité et récité lors des cérémonies annuelles du jour du Souvenir dans de nombreux pays.
• Le poèmea inspiré l’adoption du coquelicot comme fleur du Souvenir, symbole aujourd’hui largement répandu; cette pièce se veut donc un hommage aux Canadiens qui ont servi leur pays avec bravoure, tant pendant la Première Guerre mondiale que durant les conflits qui ont suivi.
• Cette pièce en argent pur à 99,99 % a un tirage mondial limité à 1 500 exemplaires.
• Les touches de couleur placées avec soin recréent les éclatants coquelicots qui entouraient les soldats en uniforme, et donnent vie à cettescène émouvante tout en rehaussant la finesse du motif.
• Un superbe article de collection qui plaira aux collectionneurs et un ajout de choix à toute collection consacrée aux forces armées canadiennes ou à l’histoire.
• Un cadeau symbolique à offrir à un membre des forces armées ou à quiconque a perdu un être cher à la guerre.
• Aucune TPS ni TVH.
À propos du motif
Le motif au revers, œuvre de l’artistecanadien Tony Bianco, allie à la perfection couleurs vibrantes et finesse du détail dans une scène touchante de recueillement sur la tombe d’un soldat. Une étrange tranquillité plane sur ce moment de silence qu’observent deux soldats canadiens en mémoire d’un ami et compatriote mort au combat et inhumé loindes siens dans un champ parsemé des coquelicots vermillon évoqués dansle poème Au champ d’honneur. Sa casquette à la main, l’un des soldats se tient tête baissée à gauche de la pierre tombale, l’air solennel. À droite, l’autre soldat, un genou en terre devant la croix, baisse la tête en signe de recueillement. Ils sont parmi les nombreux soldats qui aideront à poursuivre le travail de ceux qui ont péri. Ce sont eux qui, tel qu’il est énoncé dans le poème, vont « porter l’oriflamme » afin de combattre « et de garder au fond de l’âme / le goût de vivre en liberté». À l’arrière-plan, le premier vers du célèbre poème figure de façonmanuscrite, en anglais et en français : « In Flanders fields the poppies blow » et « Au champ d’honneur,les coquelicots ».
Le saviez-vous?
• Dans la version originale, le premier vers disait « In Flanders fields the poppies grow » (où poussent les coquelicots), mais l’éditeur du magazine Punch demanda la permission à John McCrae de lechanger pour « the poppies blow » (où ploient les coquelicots), afin de ne pas répéter le dernier versdu poème.
• La popularité du poème et sa référence aux fleurs poussant sur la tombe des soldats ont inspiré le port du coquelicot en symbole du souvenir. Cette pratique n’a pas tardé à se répandre et elle est toujours observée au Canada, en France, aux États-Unis, en Grande-Bretagne et dans d’autres pays du Commonwealth.
• Souvent cité, lepoème Au champ d’honneur a été utilisé dans une campagne publicitaire visant à promouvoir l’achat des obligations de guerre; il a permis d’amasser 400 millions de dollars, soit bien plus que l’objectif initial de 150 millions.
• Plus de 600 000 soldats, infirmières et aumôniersde partout au Canada ont servi dans l’armée durant la Première Guerre mondiale, de 1914 à 1918, et 60 000 y ont fait le sacrifice ultime.
Né à Guelph, en Ontario, John McCrae (1872-1918) était un médecin plein de compassion, un professeur respecté et un vétéran de la guerre d’Afrique du Sud. Peu après la déclaration de la Première Guerre mondiale, il s’enrôle et est nommé commandant adjoint de la 1e Brigade d’artillerie de campagne, dans laquelle il agit en qualité de chirurgien, mettant à contribution sa précieuse formation en médecine.
La mort d’un ami, survenue lors des valeureux combats que mène la 1e Division canadienne sur le saillant d’Ypres, inspire à John McCrae son célèbre poème. Le matin du 2 mai 1915, le lieutenant Alexis Helmer d’Ottawa, en Ontario, alors âgé de 22ans, est abattu par un tir d’artillerie ennemi en sortant de son abri. Faute d’aumônier, c’est John McCrae lui-même qui dirige les funérailles de son ami, inhumé dans une tombe de fortunemarquée d’une simple croix en bois. Bien qu’il existe plusieurs versionsdes faits, on dit que l’auteur a composé son célèbre poème le jour suivant, assis sur le marchepied arrière d’une ambulance, non loin de la tombe d’Alexis Helmer, près des champs où se multipliaient les tombes de fortune.
John McCrae mit son poème de côté, son avant-dernier, et ne le reprit qu’après avoir quitté Yprespour Boulogne. La version remaniée qu’il soumit au Spectator de Londres fut rejetée, mais heureusement, un journaliste en rapporta une copie au magazine britannique Punch, quile publia sans préciser le nom de l’auteur le 8 décembre 1915. Par son thème du souvenir et son rappel du rouge vif des coquelicots qui poussaient malgréles dévastations de la guerre, le poème est considéré commereprésentatif du point de vue des soldats; le nom de son auteur ne tarda pas à être connu.
Cent ans plus tard, le legs de John McCrae et de son poème est toujours bien vivant. Même si le médecin a succombé à la maladie et à l’épuisement en janvier 1918, ses écrits ont bravé l’épreuve du temps et continuent de faire entendre la voix des hommeset des femmes morts au combat. Après la guerre, son poème a inspiré unmouvement faisant du coquelicot le symbole officieldu Souvenir. Aujourd’hui encore au Canada, la tradition veut que, chaque année, durant les semaines précédant lejour du Souvenir (le 11 novembre), on arbore ce symbole rouge vif pour rendre hommage aux plus de 600 000 Canadiens qui ont servi pendant la Première Guerre mondiale et aux 60 000 d’entre eux qui y ont fait le sacrifice ultime.
Emballage
La pièce est encapsulée et présentée dans un boîtier à double coque bordeaux orné du logo de la Monnaie royale canadienne. Le boîtier est assorti d’une boîte protectrice illustrée.
Commandez votre exemplaire dès aujourd’hui!
Cette magnifique pièce de grand format rend un hommage touchant au célèbre poème de John McCrae.
Au champ d’honneur, les coquelicots
Sont parsemés de lot en lot
Auprès des croix; et dans l’espace
Les alouettes devenues lasses
Mêlent leurs chants au sifflement
Des obusiers.
- Au champ d’honneur, adaptation du poème In Flanders Fieldssignée Jean Pariseau
’année 2015 marque le 100eanniversaire de la publication du poème In Flanders Fields (Au champ d’honneur), composé en mai 1915 par le médecin et lieutenant-colonel canadien John McCrae, alors plongé dans les horreurs de la deuxième bataille d’Ypres. Grâce à ce poème des plus émouvants, l’auteur a donné une voixaux 60 000 Canadiens tombés au combat pendant la Première Guerre mondiale et lancé un mouvement international pour perpétuer leur souvenir. Soulignant l’anniversaire du poème, cette pièce en argent fin se veut un hommage solennel à ceux qui ont servi leur pays avec courage à l’étranger en temps de guerre. N’oublions jamais.
La pièce commémore le célèbre poème composé parJohn McCrae. Commandez la vôtre dès aujourd’hui!
Caractéristiques particulières
• À L’EFFIGIE DU ROI GEORGE V : L’avers est à l’effigie du roi George V selon sir E. B. MacKennal.
• Cette pièce souligne de façon poignante le 100e anniversaire de la publication du célèbre poème composé par le Canadien John McCrae, lequel est souvent cité et récité lors des cérémonies annuelles du jour du Souvenir dans de nombreux pays.
• Le poèmea inspiré l’adoption du coquelicot comme fleur du Souvenir, symbole aujourd’hui largement répandu; cette pièce se veut donc un hommage aux Canadiens qui ont servi leur pays avec bravoure, tant pendant la Première Guerre mondiale que durant les conflits qui ont suivi.
• Cette pièce en argent pur à 99,99 % a un tirage mondial limité à 1 500 exemplaires.
• Les touches de couleur placées avec soin recréent les éclatants coquelicots qui entouraient les soldats en uniforme, et donnent vie à cettescène émouvante tout en rehaussant la finesse du motif.
• Un superbe article de collection qui plaira aux collectionneurs et un ajout de choix à toute collection consacrée aux forces armées canadiennes ou à l’histoire.
• Un cadeau symbolique à offrir à un membre des forces armées ou à quiconque a perdu un être cher à la guerre.
• Aucune TPS ni TVH.
À propos du motif
Le motif au revers, œuvre de l’artistecanadien Tony Bianco, allie à la perfection couleurs vibrantes et finesse du détail dans une scène touchante de recueillement sur la tombe d’un soldat. Une étrange tranquillité plane sur ce moment de silence qu’observent deux soldats canadiens en mémoire d’un ami et compatriote mort au combat et inhumé loindes siens dans un champ parsemé des coquelicots vermillon évoqués dansle poème Au champ d’honneur. Sa casquette à la main, l’un des soldats se tient tête baissée à gauche de la pierre tombale, l’air solennel. À droite, l’autre soldat, un genou en terre devant la croix, baisse la tête en signe de recueillement. Ils sont parmi les nombreux soldats qui aideront à poursuivre le travail de ceux qui ont péri. Ce sont eux qui, tel qu’il est énoncé dans le poème, vont « porter l’oriflamme » afin de combattre « et de garder au fond de l’âme / le goût de vivre en liberté». À l’arrière-plan, le premier vers du célèbre poème figure de façonmanuscrite, en anglais et en français : « In Flanders fields the poppies blow » et « Au champ d’honneur,les coquelicots ».
Le saviez-vous?
• Dans la version originale, le premier vers disait « In Flanders fields the poppies grow » (où poussent les coquelicots), mais l’éditeur du magazine Punch demanda la permission à John McCrae de lechanger pour « the poppies blow » (où ploient les coquelicots), afin de ne pas répéter le dernier versdu poème.
• La popularité du poème et sa référence aux fleurs poussant sur la tombe des soldats ont inspiré le port du coquelicot en symbole du souvenir. Cette pratique n’a pas tardé à se répandre et elle est toujours observée au Canada, en France, aux États-Unis, en Grande-Bretagne et dans d’autres pays du Commonwealth.
• Souvent cité, lepoème Au champ d’honneur a été utilisé dans une campagne publicitaire visant à promouvoir l’achat des obligations de guerre; il a permis d’amasser 400 millions de dollars, soit bien plus que l’objectif initial de 150 millions.
• Plus de 600 000 soldats, infirmières et aumôniersde partout au Canada ont servi dans l’armée durant la Première Guerre mondiale, de 1914 à 1918, et 60 000 y ont fait le sacrifice ultime.
Né à Guelph, en Ontario, John McCrae (1872-1918) était un médecin plein de compassion, un professeur respecté et un vétéran de la guerre d’Afrique du Sud. Peu après la déclaration de la Première Guerre mondiale, il s’enrôle et est nommé commandant adjoint de la 1e Brigade d’artillerie de campagne, dans laquelle il agit en qualité de chirurgien, mettant à contribution sa précieuse formation en médecine.
La mort d’un ami, survenue lors des valeureux combats que mène la 1e Division canadienne sur le saillant d’Ypres, inspire à John McCrae son célèbre poème. Le matin du 2 mai 1915, le lieutenant Alexis Helmer d’Ottawa, en Ontario, alors âgé de 22ans, est abattu par un tir d’artillerie ennemi en sortant de son abri. Faute d’aumônier, c’est John McCrae lui-même qui dirige les funérailles de son ami, inhumé dans une tombe de fortunemarquée d’une simple croix en bois. Bien qu’il existe plusieurs versionsdes faits, on dit que l’auteur a composé son célèbre poème le jour suivant, assis sur le marchepied arrière d’une ambulance, non loin de la tombe d’Alexis Helmer, près des champs où se multipliaient les tombes de fortune.
John McCrae mit son poème de côté, son avant-dernier, et ne le reprit qu’après avoir quitté Yprespour Boulogne. La version remaniée qu’il soumit au Spectator de Londres fut rejetée, mais heureusement, un journaliste en rapporta une copie au magazine britannique Punch, quile publia sans préciser le nom de l’auteur le 8 décembre 1915. Par son thème du souvenir et son rappel du rouge vif des coquelicots qui poussaient malgréles dévastations de la guerre, le poème est considéré commereprésentatif du point de vue des soldats; le nom de son auteur ne tarda pas à être connu.
Cent ans plus tard, le legs de John McCrae et de son poème est toujours bien vivant. Même si le médecin a succombé à la maladie et à l’épuisement en janvier 1918, ses écrits ont bravé l’épreuve du temps et continuent de faire entendre la voix des hommeset des femmes morts au combat. Après la guerre, son poème a inspiré unmouvement faisant du coquelicot le symbole officieldu Souvenir. Aujourd’hui encore au Canada, la tradition veut que, chaque année, durant les semaines précédant lejour du Souvenir (le 11 novembre), on arbore ce symbole rouge vif pour rendre hommage aux plus de 600 000 Canadiens qui ont servi pendant la Première Guerre mondiale et aux 60 000 d’entre eux qui y ont fait le sacrifice ultime.
Emballage
La pièce est encapsulée et présentée dans un boîtier à double coque bordeaux orné du logo de la Monnaie royale canadienne. Le boîtier est assorti d’une boîte protectrice illustrée.
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Caractéristiques techniques
Numéro de produit
145147
Tirage
1 500
Composition
argent pur à 99,99 %
Embellissement
Colorée
Poids
157,6 g
Tranche
dentelée
Certificat
numéroté
Valeur nominale
50 dollars
Fini
épreuve numismatique
Évaluations
Questions
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