
ARCHIVÉ
Série Champs de bataille de la Première Guerre mondiale : La deuxième bataille d’Ypres – Pièce de 1
2015
Tirage 10 000
ARCHIVÉ
Série Champs de bataille de la Première Guerre mondiale : La deuxième bataille d’Ypres – Pièce de 1
2015
Tirage 10 000
112,95 $CAD
Club des Maîtres:
1 130
Statut : Livraison au Canada et aux É.-U. seulement
Disponibilité :
Rupture de stock en magasin
À propos
Deuxième pièce de la série consacrée à des champs de bataille de la Première Guerre mondiale. Commandez votre exemplaire dès aujourd'hui!
« Imaginez le pire de l’enfer. Vous commencerez à peine à comprendre comment c’était. » (Un sergent canadien)
En avril 1915, la ligne de front des Alliés faisait saillie autour de la ville d’Ypres en Belgique. Cette partie du front formant une avancée allait plus tard être connue sous le nom de saillant d’Ypres. Les Allemands occupaient le terrain surélevé au nord, àl’est et au sud d’Ypres, endroit duquel ils pouvaient observer l’ennemi et préparer l’attaque qui leur permettrait d’ouvrir une brèche dans la ligne des forces alliées.
Le 22 avril 1915, à l’aube, il faisait beau et le ciel était clair.
Pour les soldats de la Première Division canadienne, cettejournée d’accalmie avait des allures printanières. Au début du mois, les soldats canadiens avaient été repositionnés dans un secteur arrière plus calme du front, au nord-est d’Ypres, mais les voilà qui se retrouvaient en première ligne,dans le saillant.
Les Canadiens n’avaient pas encore livré de combats d’une grande intensité ; aussi attendaient-ils avec impatience de montrer qu’ils étaient forts et capables. Leur vœu ne tarda pas à s’exaucer, mais ce baptême du feu, par un si beau jour de printemps, fut horrible.
En fin de journée, les Canadiens aperçurent une fumée verdâtre se diriger vers leurs tranchées et celles des troupes françaises et algériennes sur le flanc gauche. Ils virent les soldats soudainement abandonnerleur position, tentant désespérément de fuir ce qui se révéla être environ 160 tonnes de chlore gazeux. La plupart – des milliers d’hommes – n’allèrent pas bien loin.
Cette offensive ouvrit une énorme brèche dans la ligne des Alliés. Les Canadiens prirent tous les moyens possibles et imaginables pour se protéger avant l’arrivée imminente du gaz et se préparèrent à affronter les troupes allemandes qui suivaient non loin derrière. Même si les Allemands parvinrent à percer la ligne alliée à plusieurs points, ils furent incapables d’exploiter leur avantage en raison de la défense courageuse et acharnée que leuropposèrent les Canadiens.
Pendant des jours, on se livra à des combats rapprochés, d’attaque en contre-attaque. Tout au long de cette bataille, la Division canadienne fut exposée au feu constant et nourri d’un barrage d’artillerie. La ténacité des Canadiens le long du saillant, dans des lieux tels que le Bois des cuisiniers, Gravenstafel, Saint-Julien, Festubert et la crête de Frezenberg, contribua à la fière histoire de l’Armée canadienne et à la renommée des régiments les plus valeureux.
Bien que leur action valût aux Canadiens la réputation de soldats redoutables, le prix à payer fut terrible. Lorsqu’elle fut retirée de la bataille, la Division comptait plus de 6 000 morts et blessés sur un effectif de 10 000 hommes.
C’est lors de cette bataille, peu de temps après l’enterrement de son meilleur ami, qu’un chirurgien de l’Armée canadienne nommé John McCrae composa le poème mémorable « In Flanders Fields » (« Au champ d’honneur »). Cet écrit devint l’hymne du jour du Souvenir, récité à la mémoire de ceux qui firent le sacrifice ultime de leur vie dansune guerre qui allait durer presque quatre autres années.
Un ajout de choix à toute collection consacrée aux thèmes militaires ou à l’histoire. Commandez votre exemplaire dès aujourd'hui!
Caractéristiques particulières
• La deuxième pièce de la toute récente série Champs de bataille de la Monnaie royale canadienne sur le thème de la PremièreGuerre mondiale représente des soldats canadiens en action sur les champs de bataille d’Europe.
• EFFIGIE DU ROI GEORGE V : La pièce est à l’effigie du roi George V, selon sir E. B. MacKennal et présente un placage d'or sélectif.
• Un hommage touchant aux soldatscanadiens, qui affrontèrent avec courage un danger sans précédent lors de la deuxième bataille d’Ypres, en avril 1915. Leur bravoure est une contribution inestimable à l’histoire du Canada.
• La pièce est rehaussée d’un placage d’or sélectif qui met en valeur la figurine ailée symbolisant la victoire, fidèlement reproduite des médailles de la Victoire.
• Cette pièce est exempte de la TPS et de la TVH.
À propos du motif
Le motif au revers, œuvre de l’artiste canadienne Silvia Pecota, nous transporte dans les tranchéesde la ligne de front près d’Ypres, directement dans le feu de l’action. À l’avant-plan, un soldat canadien debout braque son fusil Ross muni d’une baïonnette en direction de l’ennemi qui s’approche. Derrière lui, un homme est accroupi, tentant de réparer son fusil, qui s’est enrayé après un tir rapide. Un autre prend appui contre les sacsde sable pour tirer sur les troupes allemandes. À droite, un soldat a utilisé son mouchoir pour se couvrir le nez afin de se protéger des brûlures infligées par le gaz verdâtre qui envahit les Alliés. Cette scène éloquente ravive le souvenir des périls terribles que bravèrent les hommes de la Première Division canadienne. Au milieu d’une bannière déployée sous cette image poignante, un placage d’or sélectif met en valeur la figure ailée de « la Victoire », tellequ’elle apparaissait sur la médaille décernée aux soldats alliés de la Première Guerre mondiale.
Emballage
La pièce est encapsulée et présentée dans un boîtier à double coque bordeaux orné du logo de la Monnaie royale canadienne. Le boîtier est assorti d’une boîte protectrice illustrée.
Commandez votre exemplaire dès aujourd'hui!
En avril 1915, la ligne de front des Alliés faisait saillie autour de la ville d’Ypres en Belgique. Cette partie du front formant une avancée allait plus tard être connue sous le nom de saillant d’Ypres. Les Allemands occupaient le terrain surélevé au nord, àl’est et au sud d’Ypres, endroit duquel ils pouvaient observer l’ennemi et préparer l’attaque qui leur permettrait d’ouvrir une brèche dans la ligne des forces alliées.
Le 22 avril 1915, à l’aube, il faisait beau et le ciel était clair.
Pour les soldats de la Première Division canadienne, cettejournée d’accalmie avait des allures printanières. Au début du mois, les soldats canadiens avaient été repositionnés dans un secteur arrière plus calme du front, au nord-est d’Ypres, mais les voilà qui se retrouvaient en première ligne,dans le saillant.
Les Canadiens n’avaient pas encore livré de combats d’une grande intensité ; aussi attendaient-ils avec impatience de montrer qu’ils étaient forts et capables. Leur vœu ne tarda pas à s’exaucer, mais ce baptême du feu, par un si beau jour de printemps, fut horrible.
En fin de journée, les Canadiens aperçurent une fumée verdâtre se diriger vers leurs tranchées et celles des troupes françaises et algériennes sur le flanc gauche. Ils virent les soldats soudainement abandonnerleur position, tentant désespérément de fuir ce qui se révéla être environ 160 tonnes de chlore gazeux. La plupart – des milliers d’hommes – n’allèrent pas bien loin.
Cette offensive ouvrit une énorme brèche dans la ligne des Alliés. Les Canadiens prirent tous les moyens possibles et imaginables pour se protéger avant l’arrivée imminente du gaz et se préparèrent à affronter les troupes allemandes qui suivaient non loin derrière. Même si les Allemands parvinrent à percer la ligne alliée à plusieurs points, ils furent incapables d’exploiter leur avantage en raison de la défense courageuse et acharnée que leuropposèrent les Canadiens.
Pendant des jours, on se livra à des combats rapprochés, d’attaque en contre-attaque. Tout au long de cette bataille, la Division canadienne fut exposée au feu constant et nourri d’un barrage d’artillerie. La ténacité des Canadiens le long du saillant, dans des lieux tels que le Bois des cuisiniers, Gravenstafel, Saint-Julien, Festubert et la crête de Frezenberg, contribua à la fière histoire de l’Armée canadienne et à la renommée des régiments les plus valeureux.
Bien que leur action valût aux Canadiens la réputation de soldats redoutables, le prix à payer fut terrible. Lorsqu’elle fut retirée de la bataille, la Division comptait plus de 6 000 morts et blessés sur un effectif de 10 000 hommes.
C’est lors de cette bataille, peu de temps après l’enterrement de son meilleur ami, qu’un chirurgien de l’Armée canadienne nommé John McCrae composa le poème mémorable « In Flanders Fields » (« Au champ d’honneur »). Cet écrit devint l’hymne du jour du Souvenir, récité à la mémoire de ceux qui firent le sacrifice ultime de leur vie dansune guerre qui allait durer presque quatre autres années.
Un ajout de choix à toute collection consacrée aux thèmes militaires ou à l’histoire. Commandez votre exemplaire dès aujourd'hui!
Caractéristiques particulières
• La deuxième pièce de la toute récente série Champs de bataille de la Monnaie royale canadienne sur le thème de la PremièreGuerre mondiale représente des soldats canadiens en action sur les champs de bataille d’Europe.
• EFFIGIE DU ROI GEORGE V : La pièce est à l’effigie du roi George V, selon sir E. B. MacKennal et présente un placage d'or sélectif.
• Un hommage touchant aux soldatscanadiens, qui affrontèrent avec courage un danger sans précédent lors de la deuxième bataille d’Ypres, en avril 1915. Leur bravoure est une contribution inestimable à l’histoire du Canada.
• La pièce est rehaussée d’un placage d’or sélectif qui met en valeur la figurine ailée symbolisant la victoire, fidèlement reproduite des médailles de la Victoire.
• Cette pièce est exempte de la TPS et de la TVH.
À propos du motif
Le motif au revers, œuvre de l’artiste canadienne Silvia Pecota, nous transporte dans les tranchéesde la ligne de front près d’Ypres, directement dans le feu de l’action. À l’avant-plan, un soldat canadien debout braque son fusil Ross muni d’une baïonnette en direction de l’ennemi qui s’approche. Derrière lui, un homme est accroupi, tentant de réparer son fusil, qui s’est enrayé après un tir rapide. Un autre prend appui contre les sacsde sable pour tirer sur les troupes allemandes. À droite, un soldat a utilisé son mouchoir pour se couvrir le nez afin de se protéger des brûlures infligées par le gaz verdâtre qui envahit les Alliés. Cette scène éloquente ravive le souvenir des périls terribles que bravèrent les hommes de la Première Division canadienne. Au milieu d’une bannière déployée sous cette image poignante, un placage d’or sélectif met en valeur la figure ailée de « la Victoire », tellequ’elle apparaissait sur la médaille décernée aux soldats alliés de la Première Guerre mondiale.
Emballage
La pièce est encapsulée et présentée dans un boîtier à double coque bordeaux orné du logo de la Monnaie royale canadienne. Le boîtier est assorti d’une boîte protectrice illustrée.
Commandez votre exemplaire dès aujourd'hui!
Caractéristiques techniques
Numéro de produit
140830
Tirage
10 000
Composition
argent pur à 99,99 % avec placage d'or sélectif
Poids
31,39 g
Tranche
dentelée
Certificat
numéroté
Valeur nominale
20 dollars
Fini
épreuve numismatique
Séries
Champs de bataille de la première guerre mondiale
Évaluations
Questions
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