Pendant ces quelques minutes, j'ai assisté à la naissance d'une nation.
– Arthur Edward Ross, brigadier-général

En avril 1917, les quatre divisions du Corps canadien reçoivent l'ordre de s'emparer de la lourdementfortifiée crête de Vimy, dans le nord de la France.Notre jeune nation vit alors un moment historique : la bataille de la Crête de Vimy est la toute première où les soldats des quatre coins du pays sont réunis pour combattre coude à coude. Après des semaines d'intense préparation et quatre jours de rude combat, les Canadiens remportent la victoire et, du même souffle, se taillent une réputation de force offensive tenace. L'exploit amplifiera la fierté nationale bien au-delà de la fin de la guerre.

Un cadeau symbolique pour les militaires ou un hommage auxêtres chers perdus à la guerre. Commandez votre exemplaire dès aujourd'hui.

• SOULIGNE LE 100^e ANNIVERSAIRE DE LA BATAILLE DE LA CRÊTE DE VIMY. Cette pièce est un hommage gravé à la célèbre toile La prise de la crête de Vimy, lundi de Pâques 1917 peinte par Richard Jack, qui exprime le sacrifice et le dépassement d'une nation à la bataille de la Crête de Vimy, il y a un siècle.
• PIÈCE DE 10 ONCES EN ARGENT PUR À 99,99 %. Le grand diamètre de la pièce (76 mm) en fait une toile de fond idéale pour cette reproduction détaillée de la peinture célèbre de Richard Jack.
• FINIS MULTIPLES. L'utilisation de multiples techniques de finition met envaleur les moindres détails gravés sur cette pièce de 10 oz en argent fin.
• EFFIGIE DU ROI GEORGE V. Fidèle au thème historique, l'avers imite celui de toutes les pièces produites durantla Première Guerre mondiale, c'est-à-dire qu'il présente l'effigie du roi George Vselon sir E. B. MacKennal.
• MAGNIFIQUE COFFRET EN BOIS. La pièce est encapsulée et présentée dans un coffret en bois orné du logo de la Monnaie royale canadienne – l'idéal pour exposer votre nouvelle acquisition. Ce coffret est assorti d'une boîte protectrice.
• TRÈS FAIBLE TIRAGE. Seulement 750 exemplaires disponibles dans le monde.
• CERTIFICAT NUMÉROTÉ. La Monnaie royale canadienne certifie l'authenticité de toutes ses pièces de collection. Laplupart sont accompagnées d'un certificat portant un numéro unique, la série commençant à 1.
• AUCUNE TPS NI TVH.

Le motif est une représentation hautement détaillée et magnifiquement gravée de la peinture à l'huile surdimensionnée La prise de la crête de Vimy, lundi de Pâques 1917. Le grand diamètre de la pièce (76 mm) en fait une toile de fond idéale pour cette reproduction minutieuse de l'œuvre inoubliable du premier artiste de guerre officiel du Canada, Richard Jack. Centré sur une batterie canadienne, le motif rend l'intensité des bombardements dirigés vers les positions ennemies sur lacrête de Vimy, qui s'élève à l'horizon. L'équipage du canon de campagne – chargé d'obus de 18 livres – travaille sans relâche et à l'unisson, faisant passer les obus pour nourrir le tir de barrage – une scène qui illustre bien l'effort concerté des troupes canadiennes. Le mot « CANADA », gravé dans le haut de la pièce, surplombe les dates commémoratives « 1917-2017 », et la valeur nominale « 100 DOLLARS » est gravée sous les pieds des soldats. L'avers est à l'effigie du roi George V selon sir E. B. MacKennal, laquellefigurait sur les pièces canadiennes à l'époquede la Première Guerre mondiale.

• Les forces allemandes se sont emparées dela crête de Vimy et de ses environs en 1914. Les Français ont tenté en vain de reprendre la zone en mai 1915, et de nouveau en septembre de la même année, essuyant plus de 100 000 pertes.
• Quand l'infanterie canadienne s'est déployée lematin du 9 avril 1917, elle était armée de près de 1 000 pièces d'artillerie, dont le canon de campagne, chargé d'obus de 18 livres, représenté au revers de la pièce.
• Richard Jack, dont l'œuvre est reproduite en gravure au revers de la pièce, fut le premier artiste de guerre officiel du Canada. Commandée par lord Beaverbrook en 1916, sa première œuvre majeure pour le Fonds de souvenirs de guerre canadiens est une immense toile qui dépeint lestroupes canadiennes pendant la deuxième bataille d'Ypres; sans photographies officielles du combat, l'artiste a dû se fier à ses croquis des lieux et aux descriptions rapportées par les officiers et les soldats.
• Jusqu'en 1916, peu de photographies officielles avaient immortalisé la participation du Canada à la guerre, car on jugeait à l'époque qu'elles risquaient de révéler des renseignements sensibles si elles tombaient entre les mains de l'ennemi. C'est d'ailleurs pourquoi les soldats n'étaient pas autorisés à apporter leur appareil photo personnel dans les tranchées.
• Homme de presse, Beaverbrook estimait que la durée de vie des photographies se limitait à 25 ans seulement. C'est pourquoi il a choisi la peinture commemoyen de documenter la guerre pour les générations futures.

Une perspective résolument canadienne de la Première Guerre mondiale se dégage des œuvres d'art créées durant cette période, en particulier de celles qui ont vu le jour dans le cadre du programme d'art militaire du Canada, une première en son genre.

Inspiré par une pénurie de photographies officielles, l'entrepreneur d'origine canadienne sir William Maxwell Aitken (devenu plus tard lord Beaverbrook) met sur pied le Fonds de souvenirs de guerre canadiens en 1916. Son ambition : créer une vaste collection d'œuvres qui servirait de compte rendu visuel officiel d'une jeune nation en guerre.

Ainsi, plus d'une centaine de photographes, de sculpteurs, de cinéastes et de peintres britanniques et canadiens – dont de futurs membres du Groupe des sept – reçoivent le mandat de représenter les efforts que mène le Canada au pays et à l'étranger. Grâce au travail acharné de Beaverbrook, ces artistes obtiennent notamment l'accès aux militaires, à l'équipement et aux champs de bataille. Certains s'intègrent aux troupes, tandis que d'autres font leurs esquisses dans les champs, puis retournent au studio pour reproduire leurs observations sur une toile.

Grâce à la forte valeur historique qu'on attache à ces représentations de la guerre, l'initiative donne un énorme coup de pouce à la scène artistique florissante du pays. Plus important encore,le Fonds laisse un imposant legs de près de 1 000 photographies, dessins, films et toiles, dont des centaines font partie de la Collection Beaverbrook d'art militaire que conserve le Musée canadien de la guerre à Ottawa, en Ontario.

La pièce est encapsulée et présentée dans un coffret en bois ornédu logo de la Monnaie royale canadienne. Ce coffret est assorti d'une boîte protectrice.

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