Si le Canada s’est engagé dans la guerre entant que partenaire subalterne de la Grande-Bretagne, à la fin du conflit, il était devenu un allié à part entière qui n’avait pas à rougir de saforce combattante. La première pièce de cette sériesouligne les hauts faits du Canada sur le front occidental en 1918, lorsque les combats ont repris en rase campagne, permettant aux courageux soldats de la cavalerie canadienne de jouer leur rôle dans un conflit de plus en plus mécanisé. Un placage d’or sélectif donne une touche d'éclatà l’insigne d’épaule du servicegénéral qu’arboraient les soldats canadiens pendant la Première Guerre mondiale – une guerre qui a accéléré la modernisation des opérations militaires. Des siècles durant, et encore en 1914, la cavalerie était considérée comme essentielle à toute armée, mais l’impasse créée par la guerre de tranchées l’a réduite àdes opérations de reconnaissance et de patrouille. Lorsque l’impasse s’est dénouée en 1918, la reprise d’une guerre de mouvement a enfin permis aux unités de cavalerie canadiennes de prendre une part plus active aux combats, comme au bois de Moreuil, à Amiens et à Cambrai, où elles se sont battues aux côtés des chars d’assaut et des véhicules blindés, synonymes deguerre au XX^e siècle.

Un ajout splendide à votre collection ayant pour thème l’univers militaire. Commandez cette pièce commémorative aujourd’hui.

• PREMIÈRE PIÈCE D’UNE NOUVELLE SÉRIE À TIRAGE LIMITÉ. Émise pour le 100^e anniversaire de l’Armistice, signé le 11 novembre 1918, cette série de quatre piècesrend hommage à la contribution de membres des forces alliées qui ont combattu pour un but commun.
• QUATRE ALLIÉS, UNE DERNIÈRE OFFENSIVE. Le Canada donne la charge sur cette première pièce, dont l’image gravée souligne le rôle souvent ignoré de la cavalerie dans une guerre de plus en plus marquée par la technologie et les machines modernes.
• LE COURAGE INCARNÉ. La pièce regorgede détails gravés, et de nombreux finis ajoutent dela profondeur au motif poignant, qui évoque la bravoure de la cavalerie canadienne tandis qu’elle attaque l’ennemi.
• UN PLACAGE D’OR SÉLECTIF. Comme c’est le cas surles autres pièces de cette série, un placage d’or sélectif ajoute un riche éclat et une touche de fierté nationale à l’insigne gravé aurevers : l'insigne d’épauledu service général du Corps expéditionnaire canadien.
• POUR LE ROI ET LA PATRIE. Un placage d’or sélectif rehausse l’effigie du roi George V à l’avers, qui rappelle celui des pièces canadiennes émises pendant le conflit.
• PROCUREZ-VOUS LES QUATRE PIÈCES. Ensemble, elles forment un hommage émouvantà tous les combattants – hommage qui transcende les frontières pour mettre un visage sur les acteurs de la Grande Guerre.
• CERTIFICAT NUMÉROTÉ. La Monnaie royale canadienne certifie l’authenticité de toutes ses pièces de collection. La plupart sont accompagnées d’un certificat portant un numéro unique, la série commençant à 1.
• TIRAGE MONDIAL LIMITÉ.
• UNE ONCE D’ARGENT FIN. La pièce est ciselée dans une once d’argent pur à 99,99 %.
• AUCUNE TPS NI TVH.

L’œuvre de l’artiste canadienne Pandora Young nous place au cœur de l’action, sur le front occidental, en 1918. De multiples finis ajoutent de la profondeur à ce motif gravé, qui montre la cavalerie canadienne attaquant l’ennemi, épées brandies. Même sous la menace des tirs ennemis, hommes et bêtes démontrent leur bravoure. L’image est accompagnée de l’insigne du service général du Corps expéditionnaire canadien, orné d’un placage d’or sélectif symbolisant la fierté d'un jeune pays d’avoir combattu avec ardeur tout au long de la guerre et pendant les « cent jours du Canada ». L’avers, également rehaussé d’un placage d’or sélectif, est àl’effigie du roi George V, selon sir E. B. MacKennal.

• Le Canada a envoyé à l’étranger quelque 130 000 chevaux pour participer aux combats. Ils représentaient plus de 10 % des chevaux utilisés par les armées britanniques sur le front occidental.
• La cavalerie canadienne a joué un rôle important lors de l’offensive allemande du printemps 1918.D’ailleurs, la bataille du bois de Moreuil est souvent désignée comme l’une des dernières grandes charges de cavalerie de l’histoire. Pourtant beaucoup moins nombreux que leurs adversaires, les 3 000 membres de la Brigade de cavalerie canadienne ont lancé une attaque courageuse qui a contribué à contenir l’ennemi.
• La cavalerie canadienne a passé une grande partie de la guerre aux côtés de la cavalerie britannique. Elle était composée des régiments Lord Strathcona’s Horse (Royal Canadians), Fort Garry Horse et Royal Canadian Dragoons. Pendant l’offensive des Cent Jours, elle a participéà la bataille victorieuse d’Amiens. L’un des derniers faits d’armes de labrigade fut la capture, lors de la bataille de Cambrai, de plus de 400 prisonniers.
• Trois escadrons divisionnaires de cavalerie furent fusionnés au sein du régiment connu sous le nom de Canadian Light Horse (CLH). Celui-ci patrouilla en tête et aida à camoufler l’avancée du Corps canadien pendant l’offensive des Cent Jours.

La pièce est encapsulée et présentée dans un boîtier à doublecoque bordeaux orné du logo de la Monnaie royale canadienne. Le boîtier est assorti d’une boîte protectrice noire.

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