Par l’eau d’érable quenous buvons après un long hiver, la Lunedes sucres nous apporte la guérison. Mais avant tout, elle influence notre santé spirituelle. Avons-nous honoré et respecté tout notre entourage – humains, pierres, étoiles et arbres? Contribuons-nous à leur bien-être au quotidien? Ce superbe motif, typique de l’art Woodland, est un puissant rappel des soins que nous prodigue l’univers et de notre responsabilité envers toute forme de vie, selon la tradition anichinabée.

La pièce idéale pour tout amateur d’art autochtone. Commandez dès aujourd’hui!

• TROISIÈME PIÈCE D’UNE SÉRIE DE TREIZE. Cettepièce est la troisième d’une captivante série de motifs originaux inspirés de l’art Woodland et illustrant les 13 enseignements de Grand-mère Lune selon la tradition anichinabée.
• PUISSANTE REPRÉSENTATION DES THÈMES ET TRADITIONS DES ANICHINABÉS. Voici une série exceptionnelle mettant en vedette l’une des formes d’art autochtones les plus reconnues : on l’apprécie pour sa beauté, mais aussi pour sa puissante représentation des thèmes et traditions des Anichinabés.
• FAIBLE TIRAGE. Chaque pièce est une œuvre d’art originale dont le tirage mondial est limité à 4 000 exemplaires.
• CERTIFICAT NUMÉROTÉ. La Monnaie royale canadienne certifie l’authenticité de toutes ses pièces de collection. La plupart sont accompagnées d’un certificat portant un numéro unique, la série commençant à 1.
• ARGENT PUR À 99,99 %. D’une pureté exceptionnelle, chaque pièce est rehaussée d’une coloration et d’un splendide fini épreuve numismatique qui font ressortir la beauté de tous les éléments du motif.
• AUCUNE TPS NI TVH!

L’artiste algonquin Frank Polson a créé une image captivante d’une pleine lune immense dans le ciel et basse sur l’horizon, avec à l’avant-plan un arbre dépouillé. À gauche, une femme assise au pied d’un érable regarde la sève s’écouler d’un chalumeau de bois dans un récipient. Deux autres paniers en écorce de bouleau sont prêts à être remplis. Les traits prononcés, ainsi que les couleurs vives sur desarrière-plans sombres semblant révéler le mouvement caché derrière toute chose, sont des éléments typiques de l’art Woodland.

• Selon la légende, le sirop sucré de l’érable était un cadeau du Créateur, censé revigorer après un hiver long et rigoureux. Mais il ne fallut pas bien longtemps pour que les gens deviennent gros et paresseux, passant leur temps étendus sous les érables à s’abreuver du liquide, oubliant tout le reste. Le Créateur répliqua en diluant la sève; les gens auraient ainsi à travailler pour obtenir ce cadeau, et ils en apprécieraient la valeur.
• La production du sirop d’érable était un événement culturel d’envergure qui a donné lieu à l’utilisation de motifs de feuilles d’érable dans lesbroderies perlées des Algonquins, des siècles avant même que le « Canada » devienne une notion en soi. Des chalumeaux de bois étaient plantés dans les arbres, et la sève qui s’en écoulaitétait recueillie dans des paniers en écorce de bouleau (makak) avant d’être transférée dans des réservoirs en peau d’orignal pouvant accueillir jusqu’à 380 litres de cette eausucrée.
• Un verre de sève de l’érable à sucre : voilà un puissant élixir printanier! Ce liquide contient beaucoup d’oligoéléments (potassium, magnésium, fer, cuivre, zinc, manganèse, calcium, etc.) ainsique des antioxydants, des polyphénols, des électrolytes et plus de 50 micronutriments. Le sirop d’érable reçoit aussi bien des éloges, car il offre les mêmes avantages pour lasanté, mais en version beaucoup plus sucrée!
• Le mot « anichinabé » – qui peut être épelé et prononcé de différentes manières – signifie « êtres de bonté » ou « peuple des origines ». C’est le terme qui désigne les tribus algonquines des Grands Lacs comme les Ojibwés, les Algonquins, les Odawas, les membres de la Première Nation de Nipissing et d’autres.Bien que leur culture et leur langue soient similaires, ces tribus ont chacune une organisation socialeet une identité propres.
• L’art anichinabé, consacré majoritairement à la représentation de scènes traditionnelles, est souvent appelé l’art « Woodland ». On parle aussi souvent d’« art-médecine » ou d’« art des légendes ».
• Beaucoup d’élémentsde l’art Woodland des Anichinabés expriment des concepts clés de leur culture et de leurs traditions. Par exemple, on pourrait croire à première vue que les formes aux couleurs vives, qui rappellent des rayons X, représentent les structures internes des personnes et des animaux, mais en réalité, elles reflètent l’essence bien plus profonde de leur vie spirituelle.

La pièce est encapsuléeet présentée dans un boîtier à double coque bordeaux orné du logo de la Monnaie royale canadienne. Leboîtier est assorti d’une boîte protectrice illustrée.

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