Bienvenue en Arctique! Découvrez l’abondance de vie dissimulée sous le voile glacé du Nord canadien. Impossible de ne pas la remarquer sur la côte,qui foisonne d’animaux aquatiques et terrestres venus profiter du point de rencontre unique entre leurs deux mondes. Cette magnifique pièce en or pur à 99,999 % met en scène deux animaux emblématiques de la côte canadiennede l’Arctique : le narval et le harfang des neiges. Dans le Nord, l’eau, la neige et la glace façonnent le territoire, y creusant souvent de larges crevasses lors de la fonte estivale. Dans le même esprit, cette pièce a été méticuleusement polie et gravée pour que son motif évoque la gravure sur bois, avec des traits très précis.

Admirez la beauté majestueuse de l’Arctique grâce àcette splendide pièce en or pur à 99,999 %! Commandez votre exemplaire dès aujourd’hui!

• DEUXIÈME PIÈCE DE LA SÉRIE! Voicila deuxième des trois pièces de la série Symboles côtiers du Canada, qui met aussi à l’honneur les côtes du Pacifique (2018) et de l’Atlantique (2020).
• UN MOTIF RAPPELANT LA GRAVURE SUR BOIS! Le motif au revers évoque la gravure sur bois, un procédé séculaire qui produit des images caractérisées par des lignes épaisses et nettes. De multiples finis appliqués de main de maître font ressortir les tons et les zones d’ombre et de lumière, conférant au motif une profondeur, un relief etun éclat incomparables.
• UN CHEF-D’ŒUVRE D’UNE FACTURE REMARQUABLE! Magnifique réalisation célébrant l’exceptionnel patrimoine naturel de la côte canadienne de l’Arctique, cette pièce fera le bonheur des passionnés d’animaux, de nature ou de plein air, et de quiconque aime l’hiver et a déjà rêvé d’explorer le Nord!
• UN CERTIFICAT NUMÉROTÉ! La Monnaie royale canadienne certifie l’authenticité de toutes ses pièces de collection.
• UNE ONCE D’OR PUR À 99,999 %! Frappée dans l’or pur à 99,999 % – le plus haut degré de pureté aurifère qui soit –, cette pièce est une réalisation sans pareille de la Monnaie royale canadienne! Aucune TPS ni TVH.
• UN FAIBLE TIRAGE! Seulement 400 exemplaires dans le monde.

L’artiste canadienne Cathy Bursey-Sabourin a créé un motif original évoquant la gravure sur bois, composé d’éléments qui symbolisent la côte arctique du Canada : un narval, un harfang des neiges et, en arrière-plan, le paysage de l’Arctique aux lignes épurées qui s’étend à l’horizon. La défense du narval fendl’air alors qu’il émerge de l’eau pour respirer, tandis que le harfang des neiges le survole, à la recherche du lagopède ou de l’oiseau marin dont il fera sa proie. Lanageoire du cétacé et les ailes de l’oiseau pointent vers le haut, comme si elles étaient attirées par le paysage qui émerge de l’horizon derrière eux. L’orientation du motif semble ainsi inviter le spectateur vers le Nord.

• On appelle souvent le narval « la licorne des mers » en raison de sa longue défense, qui peut atteindre trois mètres de long. On croyait autrefois qu’il s’agissait d’un outil pour faire des trous dans la glace. De nos jours, les scientifiques posent plutôt l’hypothèse d’un organe sensoriel capable de détecter les variations subtiles dans la température, la salinité et la pression de l’eau – un incontournable pour ce cétacé qui peut plonger à 1 500 mètres de profondeur, et ce, pendant 30 minutes!
• Le harfang des neiges est l’un des strigiformes les plus lourds et les plus reconnaissables d’Amérique du Nord. Il est adapté àl’Arctique : il peut facilement tolérer des températures de -50 °C grâce à son duvet très dense et à son plumage épais. Sa proie principale est le lemming, mais il se nourrit également de lagopèdes et d’oiseaux marins. Ilest même assez rapide pour attraper un canard en plein vol!
• Mesurer un littoral n’est pas aussi simple qu’on pourrait le croire. L’expression « paradoxe du littoral » désigne le fait qu’en diminuant l’unité de mesure utilisée pour déterminer la longueur d’un littoral, on ajoute au calcul ses petites courbes et irrégularités, ce qui a une incidence sur le résultat de la mesure. Par exemple, un littoral qui fait 2 800 km lorsqu’on le mesure avec une unité de 100 km fera 3 400 km si on utilise plutôt une unité de 50 km.
• La gravure sur bois serait le plus ancien procédé d’impression. Avant d’y avoir recours pour imprimer des images sur du papier, on l’utilisait principalement pour appliquer des motifs sur du tissu. Ce procédé se caractérise par les lignes irrégulières que produit l’estampe, un bloc de bois dans lequel est gravée une image inversée. Fort utilisé dans l’art occidental entre le tout début du 15^e siècle et le début du 17^e, il a connu un regain de popularité àla fin du 19^e siècle.

La pièce est encapsulée et présentée dans un boîtier à double coque bordeaux orné du logo de la Monnaie royale canadienne. Le boîtier est assorti d’une boîte protectrice noire.

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