Cette pièce riche en détails s'inspire d'une populaire carte postale à thématique historique produite en 1899, à une époque où les objets de collection comme les cartes postales et lespièces de vaisselle commémoratives étaient souvent ornés d'armoiries nationales.

Le revers de cet objet d'exception met en vedette l'écu des sept premières provinces couramment utilisé au Canada, de façon officielle ou non, des années 1870 jusqu'à l'aube du 20^e siècle. Sur cet écu sont illustrées les armoiries des quatre provinces fondatrices du pays (le Québec, l'Ontario, la Nouvelle-Écosse etle Nouveau-Brunswick) de même que celles du Manitoba (qui a la Confédération en 1870), de la Colombie-Britannique (1871) et de l'Île-du-Prince-Édouard (1873). Les écus individuels des provinces fondatrices sont également à l'honneur, chacun encerclé adhéré à d'une couronne de laurier.

En concevant cette pièce, Cathy Bursey-Sabourin a su conserver le charme de la carte postale, tout en apportant au motif quelques modifications pour qu'il soit parfaitement adapté à son nouveau canevas. Mme Bursey-Sabourin était toute désignée pour la tâche : elle est héraut Fraser et artiste principale de l'Autorité héraldique duCanada.

C'est d'ailleurs elle qui a peint lesarmoiries actuelles du Canada ainsi que celles de la gouverneure générale et de plusieurs de ses prédécesseurs. Commandez votre pièce dès aujourd'hui!

• Faible tirage mondial : seuls 600 exemplaires seront frappés.
  
• Ce motif n'avait encore jamais orné une pièce de la Monnaie royale canadienne.
  
• Une œuvre de l'éminente héraldiste et artiste canadienne Cathy Bursey-Sabourin.
  
• Un kilogramme d'argent pur à 99,99 %.
  
• Une pièce sans pareille pour les collectionneurs.

Motif
Le revers de cette pièce en argent met en vedette l'écu des sept provinces utilisé au Canada des années 1870 jusqu'au début du 20^e siècle. Coiffé d'une couronne royale stylisée, l'écu se compose des armoiries des quatre provinces fondatrices (le Québec, l'Ontario, leNouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse) et de celles qui ont intégré le Canada peu de temps après la Confédération (le Manitoba, la Colombie-Britannique et l'Île-du-Prince-Édouard). En dessous figurent un castor et un ruban portant l'inscription bilingue « DOMINION OF/DU CANADA », et de part et d'autre, chacun dans sacouronne de laurier, les écus individuels des provinces fondatrices : ceux de l'Ontarioet de la Nouvelle-Écosse à gauche, et ceux du Québec et du Nouveau-Brunswick à droite. L'arrière-plan est quant à lui rempli de feuilles d'érable stylisées; des feuilles semblables se répètent à l'avers, qui est à l'effigie de Sa Majesté la reine Elizabeth II, selon Susanna Blunt.

Au 19^e siècle et à l'aube du 20^e, bien des articles de collection décorés des armoiries du Canada étaient produits en Europe par des gens quin'avaient jamais vu un castor de leurs propresyeux. Le résultat basculait parfois dans le fantastique, comme en témoigne ce motif, où le castor aun quelque chose d'étrange et d'exotique.

L'observateur remarquera des différences de style évidentes entre certains éléments représentés sur la pièce et les armoiries actuelles des provinces. Lerameau de trois feuilles de l'Ontarioet du Québec, par exemple, était plus réaliste à l'époque. Autres différences notables : le lymphad (navire) du Nouveau-Brunswick a la voile hissée et non déployée, et le bison du Manitoba est représenté en pleine course plutôt que debout sur un rocher.

La carte postale, imprimée en 1899, montrait l'emblème non héraldique que la Colombie-Britannique a cesséd'utiliser en 1896 : elle était donc déjà désuète à l'époque.

Emballage
La pièce est encapsulée et présentée dans un boîtier en érable orné du logo de la Monnaie royale canadienne. Le boîtier est assorti d'une boîte protectrice noire.

Commandez dès aujourd'hui!