Pièce en or pur - Les débuts du Canada : La traite des fourrures

Pièce en or pur - Les déb...

2 199,95 $CAD
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Pièce en or pur - Les débuts du Canada : La traite des fourrures

Or 2021 Tirage 1 200
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Pièce en or pur - Les débuts du Canada : La traite des fourrures

Or 2021 Tirage 1 200
2 199,95 $CAD
Club des Maîtres: 22 000 Statut : Livraison au Canada et aux É.-U. seulement
Disponibilité : Rupture de stock en magasin

À propos

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Caractéristiques

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Caractéristiques techniques

Numéro de produit 200721
Tirage 1 200
Composition Or pur à 99,99 %
Poids 15,43 g
Diamètre 29 mm
Tranche Dentelée
Certificat Numéroté
Valeur nominale 200 dollars
Fini Épreuve numismatique
Emballage La pièce est encapsulée et présentée dans un boîtier à double coque noir orné du logo de la Monnaie royale canadienne. Le boîtier est assorti d’une boîte protectrice noire.

Motif et artiste(s)

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Sheila Orr, artiste

« À l’école, on nous a demandé : “Si vous pouviez retourner dans le temps, où iriez-vous?” J’ai répondu que je retournerais dans les années 1700 pour rencontrer mes ancêtres d’Eeyou Istchee. Cette pièce m’a inspirée : je me suis intéressée à l’époque où la traite des fourrures a changé les habitudes des peuples du territoire, l’époque où ils ont dû trouver un nouvel équilibre de vie. Après des siècles d’harmonie avec le territoire, ces peuples ont mis leurs compétences et leurs ressources au service des marchands de fourrures, qui leur ont fait connaître le commerce à l’étranger, l’exportation et les échanges internationaux. Mes œuvres montrent la relation entre la culture crie et l’histoire et la création de ce pays que nous appelons aujourd’hui le Canada. Je suis fière et honorée de présenter mes ancêtres sur cette pièce. »

Sheila Orr, artiste

Janie Pachano, aînée des Nishiiyuu

« L’arrivée des marchands de fourrures dans la région de la baie James en 1668 a changé à tout jamais la vie des Cris d’Eeyou Istchee. Eux qui chassaient et trappaient pour répondre à leurs besoins de base – habillement, alimentation et abri –, ils ont dû échanger leurs fourrures contre les biens des Européens pour continuer de combler ces besoins. Leur isolement du reste du monde a pris fin lorsque la Compagnie de la Baie d’Hudson a été constituée, en 1670, et que des postes de traite ont été établis sur le territoire. Le partenariat de cette époque allait durer plus de 300 ans. »

Janie Pachano, aînée des Nishiiyuu

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