Par dizaines de millions, les bisons ont emprunté les mêmes routes ancestrales pour trouver de la nourriture, si bien qu’aujourd’hui, elles sont encore visibles du haut des airs. Nombre de ces chemins, particulièrement aux États-Unis, ont été utilisés pour le passage de chariots et, plus tard, de trains. Mais à la fin du XIX^e siècle, les pionniers européens se sont livrés à une chasse abusive et conséquemment à l’extermination massive à grande échelle des bisons, réduisant ainsi leur nombre qui, de plus de 60 millions, est passé à quelques centaines d’individus seulement. Au cours du XX^e siècle, des efforts de conservation concertés ont permis d’augmenter le nombre de bisons sauvages des deux côtés de la frontière canado-américaine. À l’heure actuelle, on estime que 30 000 bisons non domestiqués vivent au Canada et aux États-Unis, en plus des quelques centaines de milliers qui sont élevés dans des ranchs.

Caractéristiques particulières

• Deux caractéristiques de sécurité de pointe : des lignes radiales gravées avec précision et une feuille d’érable microgravée au laser dans le champ de la pièce. Au centre de cette marque figure le nombre « 22 », visible à la loupe, qui indique l’année d’émission.
• Pièce ciselée de main de maître par les graveurs de la Monnaie royale canadienne, qui ont multiplié les techniques de gravure et de finition pour donner profondeur et texture à cette superbe scène de la nature sauvage canadienne.
• Un poids exceptionnel de 1 ¼ onces pour une pièce d’une valeur nominale de 8 $ CA.
• Pas un tirage fixe.

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